L’oblat Denis Grenier s’est fondu à la vie spirituelle des autochtones qu’il trouve très forte, explique Danièle Miny dans le plus récent numéro de l’Église de Trois-Rivières. Le missionnaire lui a confié qu’«on connaît peu leur grande capacité de se dépasser lorsqu’ils font face à des situations difficiles. Ils sont très forts sur le plan humain et spirituel. On gagne énormément à les connaître, à les côtoyer! J’ai apprécié leur manière d’être: ils vivent selon le rythme de la vie sans la bousculer. Ce sont des gens très calmes. Ils ne vont jamais s’énerver pour rien. Ils ont cette capacité d’accueil des situations qui m’a toujours émerveillé.»