«Être évêque, d’hier à aujourd’hui, n’a jamais été un job facile. Depuis une cinquantaine d’années, en Occident, c’est devenu encore plus difficile, car l’éthos (la culture, les mœurs) vit sous l’influence de valeurs dominantes qui ne sont pas compatibles avec l’Évangile: l’individualisme (chacun par et pour soi), le matérialisme (seule la vie sur terre existe et compte), le consumérisme (la course à la consommation), l’hédonisme (la course aux plaisirs) et le relativisme (la Vérité n’existe pas, chacun se forge la sienne), pour ne citer que celles-là», écrit le chroniqueur Luc Phaneuf dans le plus récent numéro de La vie est belle!
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Jaclis 28 septembre 2012
Le monde d'aujourd'hui est-il à ce point coupé des valeurs évangéliques, voire hostile à ces valeurs? Et nous, chrétiens et chrétiennes, sommes-nous à ce point parfaits que nous n'avons rien à apprendre du monde en fait d'humanité? Vatican II ne nous a-t-il donc pas appris à aimer le monde de ce temps?