Dans le numéro de septembre de la revue Notre-Dame du Cap, Paul Arsenault discute de la liberté de conscience. «Après les livres, les codes, les conseillers, les maîtres, les spiritualités, les religions, les Églises, la seule lumière à suivre restera toujours, au fond de nous, mystérieuse et inviolable, notre conscience et cela, même si elle n’est pas un juge infaillible; elle peut se tromper et de fait il lui arrive de se tromper. Nous refusons de nous immiscer dans la conscience des autres, reconnaissant que celle-ci est la dernière instance en nous, celle à qui reviendra toujours le dernier mot!»
Commentaires fermées.
La Plume visiteuse 13 novembre 2011
On côtoie des gens sans vraiment les connaître. J'ai découvert un homme très profond lorsque j'ai couvert le Festival de l'Assomption au Sanctuaire des Oblats à Trois-Riviières, Notre-Dame-du-Cap. Ses prédications étaient intenses et collées aux réalités d'aujourd'hui. Il fait vivre probablement à son auditoire le résultat de ses réflexions actuelles et de ses constats. Chapeau Paul Arsenault.