«Il nous fait voir le monde avec un regard soutenu et attentif, enclin à la contemplation. La lumière qu’il projette sur les scènes de la vie se distingue par son humilité. C’est ainsi qu’il arrive à mettre au jour un univers intérieur qui se révèle autant dans les silences de ses personnages que dans la splendeur d’une nature à l’état brut.» Jacinthe Lafrance rencontre le cinéaste Bernard Émond, «un poète de la lumière qui n’écrirait qu’avec très peu de mots choisis parmi les plus simples et les plus vrais». C’est dans le numéro 48 de L’aventure intérieure.