Le chroniqueur Jean-Robert Gauthier a bien apprécié la lecture de la biographie du frère André publiée, il y trente ans, par Micheline Lachance. «Le portrait qui est tracé du frère André nous touche à divers niveaux. Il y a, tout d’abord, la grande humanité du saint religieux. Sa santé fragile et ses limites personnelles ne l’ont pas empêché de correspondre humblement et courageusement au plan déraisonnable de Dieu, bien au contraire». Dans Le Nic d’octobre, il ajoute qu’«une autre des grandes qualités de cette biographie, c’est de replacer le frère André dans son contexte historique».