Le journal Actualité diocésaine réagit à la fermeture par Shell de sa raffinerie de l’Est de Montréal. «Sauf quelques acteurs naïfs ou complaisants, personne ne croit à la bonne foi de Shell dans toute cette affaire. La meilleure preuve est que depuis presqu’un an Shell a suspendu l’entretien de ses installations. Ce faisant, la compagnie s’est mise hors la loi. Si la compagnie avait sérieusement cherché à vendre sa raffinerie plutôt que la démolir, elle aurait agi de telle sorte que les installations soient dans leurs meilleures conditions pour en favoriser la vente», déplore l’éditorialiste Daniel Pellerin.