«Je ne ferme jamais définitivement le journal sans m’arrêter à la page des décès», écrit Lise Lachance dans le plus récent numéro de L’aventure intérieure. «Je lis avec application chacun des noms, les dates de naissance et de mort. Je cherche quelqu’un que je connaîtrais, bien sûr, mais pas seulement. Je regarde s’il y a des détails précis sur la fin, s’il faut envoyer des fleurs ou donner à un organisme de charité reconnu. Je fais le compte des enfants et des petits enfants… Il me semble qu’ainsi j’entre dans des dizaines de vies, des dizaines d’histoires humaines, même si parfois, il y a bien peu de détails».
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Anonyme 13 août 2010
Ah ben coudont…! Y faut de tout pour faire un monde!