L’archiviste Jean-François Rioux avance que l’Oratoire «peut se targuer d’être le premier lieu de culte catholique en Amérique du Nord à avoir accueilli en ses murs une représentation de ballet classique». Dans la revue L’Oratoire de juillet-août, il rappelle qu’en 1970 les autorités annoncent «trois représentations d’un concert religieux à la basilique de l’Oratoire, concert auquel prendront part les danseurs des Grands Ballets Canadiens», un événement qualifié de révolutionnaire par certains médias. «Comme il faut s’y attendre, doutes, plaintes et condamnations se font entendre de la part du public. De l’admiration et des félicitations s’expriment aussi par des gens ravis de cette ouverture».