«Le festival de la consommation (souvent à crédit) tous azimuts, les mirages de bonheur associés à l’acquisition de quantités de bébelles, écrans plasma et cellulaires dernier cri, toutes choses essentielles au bonheur, bien sûr! Aimer, c’est acheter, non? Même s’il faut s’endetter, car on le sait bien, un amour sans cadeau, c’est comme la foi sans les œuvres!», lance le franc-parleur Luc Phaneuf dans le dernier numéro de l’année du Nic.