«Ce n’est pas facile d’être marguillier», indique le bulletin Église de Trois-Rivières de février. «D’abord, ça prend un certain courage pour afficher son attachement à l’Église, en cette période difficile qu’elle traverse. Et puis vous serez souvent confrontés à des choix impossibles: des revenus à la baisse, des besoins en hausse; puisqu’il faut entretenir des équipements qui prennent de l’âge; puisqu’il faut aller vers les gens, maintenant qu’ils ne viennent plus à nous. Vous aurez peut-être à choisir entre des bâtiments et des ressources en pastorale. Plusieurs assemblées de fabrique devront peut-être envisager des fermetures d’églises, des ventes de presbytères.» Heureusement, le diocèse offre services et formations aux nouveaux marguilliers.