«Au début, ce travail pas comme les autres m’a donné de vivre toutes sortes d’expériences assez cocasses, comme être appelée madame curé ou passer pour la ménagère du curé, ou encore sa blonde», raconte Odette Laroche-Belval, agente de pastorale depuis près de vingt ans, dans le plus récent numéro d’En Communion. «Je réalise qu’il n’y a pas de modèles précis: ce n’est pas du 9 à 5, ce n’est pas un remplacement de vicaires ou parce qu’il manque de prêtres. C’est un ministère, autre, qui s’est instauré au fil des années parce que notre Église s’est mise à l’écoute des signes des temps dans une culture autre et des besoins autres, en constante évolution.»
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François Gloutnay 28 avril 2011
Et les textes de qualité ne manquent pas. Faudrait toutefois s'entendre sur les sommes à remettre au rédacteur ou à la rédactrice qui accepte que son texte soit republié par une publication autre que celle qui a commandé l'article et qui a versé les droits de première publication. Plus globalement, ce serait intéressant que l'association examine l'état de la pige (et l'état des pigistes!) parmi ses membres.
François Gloutnay 28 avril 2011
Je connais Odette. C'est l'une de ces personnes qu'on veut toujours avoir comme collaboratrice à sa publication (car elle a des choses à dire, bien sûr), mais qui n'a que rarement le temps de le faire (car elle est occupée à vivre, à faire vivre). Le fait que son texte soit publié dans une des revues diocésaines membres de l'ACPC me fait songer (encore) à la richesse qu'on pourrait tirer de la mise en commun de nos ressources. Que les lecteurs de la revue En Communion puissent profiter de ce texte d'une agente de pastorale dont l'expérience est liée à leur milieu, c'est bien. Mieux: que des milliers de lecteurs des revues de l'ACPC puissent s'adonner à la même lecture d'un témoignage dont la pertinence est bien plus large, quasi-universelle.