Il faut oeuvrer à l’adoption de conditions de travail plus décentes, estiment les membre du Comité des affaires sociales de l’
Assemblée des évêques catholiques du Québec. Dans leur message du Premier mai, ils écrivent que «le droit à la syndicalisation [est] sournoisement menacé par certains employeurs, sans oublier la négociation au rabais des conventions collectives et la délocalisation des entreprises vers les autres pays». Le bulletin
Ensemble (archidiocèse de Sherbrooke) a publié ce message dans son numéro de mai.