«Dans un village comme Lac-Bouchette, l’Ermitage Saint-Antoine est devenu le plus important employeur, la scierie étant fermée depuis quelques années», indiquent le recteur Michel Gagné et le directeur général du sanctuaire, Louis Gagné, en page 3 du nouveau numéro du Messager de Saint-Antoine. Mais une telle entreprise s’avère coûteuse. Il faut sans cesse améliorer les installations. Et en temps d’incertitude économique, il faut aussi beaucoup calculer. La revue du sanctuaire fera sa part et sera dorénavant imprimée sur un «papier plus mince et un peu moins blanc». Mais, assure-t-on, «la qualité du contenu de la revue et de sa mise en page demeureront les mêmes».