Pour Jacques Gauthier, «il est louable de vouloir vivre en bonne santé le plus longtemps possible et d’être autonome jusqu’à la fin de ses jours. Mais l’idéal d’une jeunesse à conserver devient un leurre si on prend soin seulement du corps et non de l’âme, si on désire son épanouissement personnel au détriment de celui de l’autre.» Son texte sur la vieillesse paraît dans le numéro de juin du Messager de Saint-Antoine.