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Il est beaucoup question de médias et de religion dans le dernier numéro du NIC. Brigitte Bédard, Paul Bouchard et Luc Phaneuf commentent les récentes controverses où l’Église a été prise à partie par la presse. «Je suis d’avis qu’une grande faiblesse de l’Église au Québec, c’est son incapacité à bien faire passer son message dans les médias mainstream (grand public), surtout en temps de crise», écrit Luc Phaneuf. Une solution? «Il nous faudrait une petite armée de relationnistes — de vrais spécialistes de la communication —, mais aussi pourvus d’une bonne théologie».
Commentaires
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Anonyme 5 mai 2009
Je n’ai pas lu l’article non plus (ça comemnce mal mais je manque vraiment de temps). Je dirais simplement que le constat n’est pas nouveau, au contraire. Pour y avoir travaillé personnellement plus que moins, je dirais qu’il n’y pas de solution magique et que, de part et d’autre, médias et gens d’Église ont besoin de beaucoup de temps pour se comprendre un peu. Ceci dit, l’idée que les nombreux (faut ce qu’il faut)relationnistes devraient allier connaissance des médias et connaissances théologiques me parait importante; j’y ajouterais toutefois, expressément: une solide connaissance de l’univers pastoral. Bref, rien de simple…
René Tessier, rédacteur en chef de
Pastorale-Québec
Benoit Moreau 1 mai 2009
Je n’ai pas lu l’article encore. Mais que le résumé en dit dont long : c’est vraiment une grande faiblesse de l’Église. Y’a là un beau défi à relever, un autre signe des temps.