«Oui, je suis un des derniers. Quand j’ai été ordonné, en 1974, nous étions près de vingt-cinq», confie Jean-Pierre Roch, prêtre et actuellement travailleur en imprimerie, dans le dernier numéro de L’Envoi. «J’ai aussi travaillé une dizaine d’années en usine, dans une fonderie. Les conditions des travailleurs étaient difficiles. Comme j’étais au courant des droits des travailleurs et qu’ils n’étaient pas respectés, mine de rien, j’informais mes compagnons des normes minimales des lois sur le travail.»