«En cette période estivale, l’image du feu de camp peut rappeler de bons souvenirs, comme se retrouver, à la brunante ou le jour tombé, autour d’un feu qui réchauffe, qui éclaire, qui rassemble», écrit Mario Mailloux dans le plus récent numéro de Passages, une publication de l’Office de catéchèse du Québec.

«Certaines personnes pourraient qualifier ce bon moment d’inutile: nous arrêtons de courir, de produire, de performer.»

«Faut-il attendre la période estivale pour s’autoriser pareille halte? Faut-il aller jusqu’au bout du rouleau pour s’accorder le droit de se ressourcer? Faut-il s’en remettre à d’autres pour trouver un espace de plaisir, de ressourcement? On le sait, plus on laisse notre énergie diminuer, plus il nous sera difficile de l’alimenter.»