En présentant le nouveau format du Prions en Église dominical dans le numéro de janvier, le directeur Jacques Lison réfléchit à l’avenir. «Il ne s’agit évidemment pas de se cramponner stérilement à la nostalgie du passé chrétien qui a donné une église à chacun de nos villages et un nom de saint à la plupart d’entre eux. Ce temps-là n’est plus le nôtre, il ne reviendra pas. Ou plutôt, il n’a du sens que dans la mesure où nous le réinventons aujourd’hui, où nous engageons notre existence personnelle, à la suite des générations qui nous ont précédés, dans ce que le christianisme porte en lui de plus génial et de plus fécond.»