«Pendant des années, les chrétiens orthodoxes qui vivaient sous le régime communiste célébraient leur foi de manière clandestine. Dans un contexte où tout était orchestré pour les décourager, ils ont su garder la flamme allumée. Depuis la chute du rideau de fer, l’Église orthodoxe russe a repris sa place au soleil et on observe de nos jours une ferveur remarquable chez les fidèles. Encore aujourd’hui cependant, en certains pays, le fait d’afficher sa foi chrétienne peut être carrément dangereux. C’est le cas, notamment, au Pakistan, en Irak et au Nigeria.» Jean Grou débute son éditorial du Prions en Église de juillet avec ces observations.