Le numéro de mai de Relations traite des enjeux et des défis du syndicalisme d’ici. La sociologue Mona-Josée Gagnon y va notamment de réflexions sur l’antisyndicalisme. Celui, prévisible, des dirigeants patronaux mais aussi celui des travailleurs. «C’est l’antisyndicalisme des «petits», qui voient les syndicats comme des groupes de pression égoïstes dirigés par des privilégiés – et qui en viennent même à voter pour un parti politique qui entretient cette perception – qui devrait être une préoccupation pour les responsables syndicaux.»