Le plus récent numéro de Sentiersdefoi.info présente Jeanne Le Ber. Le sulpicien Robert Gagné la présente comme «une femme qui s’est enfermée volontairement dans quelques petites pièces attenantes à une chapelle, ne vivant que de prières et du travail de couture et de broderie. Elle ne voit que très peu de personnes et ne parle qu’à quelques-unes d’entre elles, le strict minimum. Son existence matérielle est d’une simplicité qui frise l’indigence, alors qu’elle a les moyens de vivre dans des conditions moins pauvres». Poutant, «cette femme, qui avait tout quitté sur le plan des relations humaines, voit le tout-Montréal assister à ses funérailles».