Gaétan Godbout,
journaliste, responsable des communications au diocèse de Sainte-Anne-de-la-Pocatière durant 25 ans, rédacteur du bulletin Intercommunication et du webzine Lettre du jeudi.
Jasmine Abran Johnson,
plus de 40 ans en communications diocésaines à L’Église de Trois-Rivières en tant que rédactrice en chef, puis directrice (1978-2019)
François Gloutnay,
cofondateur, en 2008, du blogue Nouvelles de l’ACPC et journaliste auprès de l’agence de presse Présence.
Paul Bouchard,
fondateur et ex-directeur d’Esprit-Vivant, de L’Informateur catholique et du Nouvel informateur catholique (NIC)
Gaëtane Larose,
ex-directrice de Ensemble au diocèse de Sherbrooke et ex-présidente de l’ACPC
Jérôme Martineau,
directeur et rédacteur en chef de la revue Notre-Dame du Cap et ex-président de l’ACPC.
Jean Paré,
directeur de Réveil missionnaire et ex-président de l’ACPC
Rolande Parrot,
adjointe au secrétaire général de l’AECQ et ex-rédactrice en chef de L’Église canadienne
Jacques Bouchard,
directeur et rédacteur en chef de la revue En Église (Chicoutimi)
Anne-Marie Gagné,
ex-présidente de l’ACPC
Gilles Leblanc,
directeur de la rédaction de la revue Parabole
Marc Bouchard,
rédacteur en chef de la revue Pastorale-Québec
Marie-Thérèse Chevalier,
journaliste catholique et fondatrice de Jésus, Marie et notre temps
Bernard Mercier,
secrétaire-trésorier de l’ACPC pendant de nombreuses années
Jacques Barnard,
ex-président de l’ACPC et membre honoraire
Thérèse Baron,
directrice de la revue l’Oratoire
Le prix Marie-Guyart sera attribué par le Conseil d’administration de l’AMéCO, lorsque celui-ci le jugera à propos.
Marie Guyart, sans doute mieux connue sous le nom de Marie de l’Incarnation, a été une relationiste remarquable.
Reconnue comme une fondatrice de l’Église en terre d’Amérique, elle a, à travers les multiples occupations et préoccupations du quotidien, entretenu une importante correspondance avec la mère-patrie, et particulièrement avec son fils.
Dans tous ses écrits, elle a transmis beaucoup d’informations, et de façon vivante et savoureuse, ajoutant au besoin les détails qui aident à se faire une idée précise des lieux et des choses et à comprendre le sens profond des événements, tout en retenant l’attention et l’intérêt.
Dès les années 50, des femmes journalistes du Québec considéraient Marie de l’Incarnation comme une source d’inspiration dans l’accomplissement de leur tâche.
En créant le Prix Marie-Guyart, l’AMéCO veut, d’une part, rappeler la longue histoire du journalisme catholique en terre d’Amérique et, d’autre part, souligner le mérite de personnes qui, par leur travail, ont contribué ou contribuent encore à assurer la qualité et la vitalité de la presse catholique chez nous.