«Le temps de l’été ramène plusieurs d’entre nous dans leur pays ou leur lieu d’origine. On y retrouve les membres de la famille, des proches ou des amis», écrit Rodhain Kasuba dans le numéro d’été de Vie liturgique.
«Ce que les gens ont vécu à la synagogue de Nazareth lorsque Jésus s’y est présenté pour la première fois nous est sans doute déjà arrivé: nous pensions bien connaître quelqu’un, mais voilà que sa renommée ou sa personnalité pleinement épanouie nous étonnent ou même nous heurtent. Au lieu de porter une écoute attentive et de nous émerveiller de ses qualités et de ce qu’il accomplit, nous sommes enclins à le juger», poursuit-il