La pauvreté n’est pas qu’économique et matérielle», écrit Maurice Descôteaux, responsable de la rédaction de L’Église de Rouyn-Noranda.
«En plus de la pauvreté matérielle, pensons à la pauvreté psychologique et à toutes les formes de maladies. Celles-ci frappent sans égard aux conditions économiques. La dépression, la solitude peuvent atteindre n’importe qui. Puis la pauvreté intellectuelle. On compte un nombre très important de personnes analphabètes, et cela même en contexte d’éducation massive. Nous pourrions encore ajouter la pauvreté spirituelle. Des gens peuvent être bien nantis, en bonne santé, mais douloureusement vides au plan spirituel.»