«Nous n’approuvons ni la violence ni le terrorisme surtout pas au nom de Dieu. Les récents événements de Paris, d’Ottawa, de Saint-Jean-sur-Richelieu, de Syrie, d’Israël, de Palestine et d’ailleurs nous posent question sur cette liberté que tous chérissent. Parfois, d’innocentes victimes paient de leur vie cette liberté que d’autres cherchent à obtenir», écrit France Salesse, membre de l’équipe de direction du Messager de Saint-Antoine.
«Liberté d’expression, liberté de vie sont trop souvent confrontées l’une et l’autre. Au nom de la liberté d’expression, pouvons-nous accepter que le Dieu en qui nous avons mis notre foi et notre amour soit à un tel point offensé, ridiculisé, caricaturé? Par ailleurs, au nom de nos convictions ou d’une quelconque idéologie, pouvons-nous tuer des gens qui ne les partagent pas?»