«Dans une organisation hiérarchique, la nouveauté provient généralement de la base. Puis, plus tard, les autorités entérinent les changements revendiqués. L’inverse arrive à l’Église actuellement. Le renouveau initié par la tête, François, a semblé devenir la norme en seulement quelques jours», écrit le chroniqueur Réjean Bernier dans le numéro de mars de La Revue Sainte Anne.

« Certains craignent – et d’autres espèrent – que l’effet François ne soit que passager. Le traitement choc qu’il propose comporte de nombreux effets secondaires. Trop? Car le pape dérange. Et pas seulement à Rome.»