«J’aurais pu passer des heures à regarder la Légende de saint François en vingt-huit fresques, que lui a consacrées Giotto dans la nef de la basilique supérieure, aussi grandioses que les oeuvres de Michel-Ange», confie Raynold Tremblay dans la chronique Récits de voyage qu’il signe dans le numéro de janvier-février de La Revue Sainte-Anne. «Ces chefs-d’oeuvre de l’art médiéval ont fait d’Assise une référence fondamentale du développement artistique et architectural de l’Italie et de l’Europe», écrit-il.