«En cette Année de la foi, nous voulons rappeler que la foi n’est ni une évidence ni une certitude acquise à tout jamais. La foi est bien plus une interpellation, une remise en question continuelle, une quête de sens, la recherche d’un mieux-vivre et d’un mieux-être personnels et collectifs. Bien sûr, il se trouvera toujours des gens pour affirmer qu’on se pose trop de questions. Que la multitude de livres d’études théologiques qui envahissent les tablettes des bibliothèques des universités n’est que le signe de la vanité humaine. Qu’il n’existe qu’une seule référence autorisée qui répond une fois pour toutes aux interrogations que nous portons: la Bible. Mais ça, c’est le piège du fondamentalisme, et nous croyons que l’Église d’ici ne risque pas de s’y engouffrer», écrit Jean Grou, rédacteur en chef de Vie liturgique, en prélude du dernier numéro.
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Anonyme 13 octobre 2012
Je comprends mal le sens de cette intervention. POurquoi M. Grou se croit-il obligé de décrier un certain fondamentalisme alors que ce n'est clairement pas un enjeu au Québec.
En cette année de la Foi, je souhaite personnelelment que nous apprenions, collectivement et individuellement, à nourrir notre foi afin de la renforcer et de se donner la capacité de la communiquer de la facon dont nos dons et nos choix de vie nous le permettent. Et à cet effet, la Bible est un incontournable. Ce qui nous manque cependant, c'est une éducation sur la manière de la lire et de l'interpréter.
François M-D