Journaliste au quotidien Le Devoir de 1968 à 1974, puis de 1980 à 1991, Jean-Pierre Proulx y a été chroniqueur aux affaires religieuses et à l’éducation. Dans l’édition d’hier, il confie quelques souvenirs de son passage dans ce journal. En septembre 1968, Jean-Pierre Proulx a couvert le congrès de fondation de l’ACPC. «Les périodiques catholiques du Canada français ne périront pas. Certains se fusionneront peut-être un jour, les bons s’amélioreront, les moins bons aussi. Ce qui est sûr, c’est qu’on va tout mettre en œuvre pour que soit rehaussée la qualité de la centaine de périodiques à caractère religieux qui sont publiés dans ce pays», a-t-il écrit le 13 septembre 1968. (Illustration: site Web du Devoir)
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Anonyme 23 août 2010
Merci à François de nous avoir appoorté ce complément d'informations. J'avais évidemment lu le texte dans Le Devoir (abonné que je suis depuis 40 ans), mais je ne savais pas qu'il avait ainsi participé aux premières heures de l'ACPC. C'est intéressant.
D'ailleurs, il pourrait peut-être encore agir comme personne-ressource dans un congrès futur ?
Une idée comme ça…
René Tessier, Pastorale-Québec
Jean-Piere Proulx 17 août 2010
Moi, je m'en souviens que trop!
Pendant que je présidais ladite assemblée, je reçois un message téléphonique me priant de rappeler au Devoir sans faute.
J'ai cru que quelqu'un dans l'assemblée avait téléphoné à mon patron pour me dénoncer!
Heureusement, on m'appelait pour tout autre chose.
Des bonjours à Onil Perrier
Anonyme 15 août 2010
Je ne me souviens pas d'avoir invité Jean-Pierre Proulx à présider cette rencontre. Avec les pères Brien et Mercier, nous avons envoyé des dizaines d'invitations et nous nous sommes débrouillés: il s'agissait de décider si la création d'un tel organismes était souhaitable et quel nom on lui donnerait : ACPC OU AQPC. Nous étione en 1968-69. Il y a déjà 15 ou 20 ans que j'ai remis à l'ACPC les divers documents que je détenais au début en tant que secrétaire.
Onil Perrier
Jean-Pierre Proulx 14 août 2010
Bonjour Francois,
Merci d'avoir relevé mon article du Devoir. J'en suis honoré
Je me rappelle surtout le congrès de fondation de l'ACPC parce que j'y avais commis une faute professionnelle dont je ris aujourd'hui.
J'avais proposé de présider l'assemblée de fondation qui tournait en rond au plan procédural. Ce qui fut accepté par Onil Perrier (je crois). Or j'étais là pour faire un compte rendu de l'assemblée.
De fait, je vous ai sorti du trou! Depuis lors j'ai présidé des centaines d'assemblée délibérante!. Il y a un commencement à tout.
Longue vie à l'ACPC