Jules Beaulac signe un nouveau livre. Dans Passe le temps (Éditions Bellarmin), il réfléchit sur sa vie de prêtre, son travail en milieu carcéral et le temps qu’il a consacré et consacre toujours à l’écriture. À ce sujet, il note: «L’écriture permet de rejoindre les gens facilement. Quand il s’agit de périodiques à grand tirage comme le Prions en Église auquel j’ai collaboré pendant treize ans, comme le Feuillet paroissial pour lequel j’ai écrit pendant plus de trente ans, la revue Notre-Dame du Cap dans laquelle j’ai tenu une chronique mensuelle intitulée Mon journal pendant vingt et un ans, les écrits rejoignent des milliers de gens». On trouve aussi, dans ce livre de 296 pages, des mentions de L’Oratoire, de la défunte Rassembler et de la Revue Sainte-Anne.