«Un jour, des personnes qui voyaient un dépanneur à louer ont décidé de l’habiter et ils se sont sentis chez eux. Depuis ce temps une belle histoire d’amour et de solidarité s’est vécue dans ce vieux dépanneur de quartier qui porte depuis toujours le nom de Dépanneur Sylvestre». Le capucin Benoît Fortin présente ce commerce bien original dans le dernier numéro de La Nouvelle revue franciscaine. Cette publication n’est pas membre de l’ACPC.