«À l’époque, on avait des journalistes qui étaient mandatés pour le fait religieux», rappelle Jasmine Johnson. «Aujourd’hui, il y a beaucoup de jeunes journalistes généralistes, qui n’ont pas connu l’étape ‘judéo-chrétienne’, qui n’ont pas été formés aux sacrements, et qui ne comprennent pas le langage de l’Église», observe-t-elle, en s’abstenant de tout jugement.
Le journaliste Philippe Vaillancourt a discuté avec Jasmine Johnson à son tout dernier jour de travail comme directrice des communications pour le diocèse de Trois-Rivières.
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Jamine Johnson 5 février 2019
Merci Pauline. Ce fut un réel plaisir pour moi de partager avec toi tes compétences et ton expérience.
Pauline Piché, Mont-Laurier 4 février 2019
Bonjour Jasmine, il y a déjà un certain temps que nous nous sommes côtoyées à la table interdiocésaine des communications, mais je garde le souvenir de très bons moments avec toi. Je viens de lire ton parcours. Mille fois bravos pour ce que tu as accomplies au fil des années. Tu peux en être fière! En cette étape importante de ta vie, je tiens à te souhaiter du repos bien mérité mais aussi de réaliser des projets qui te tiennent à cœur. Bonne continuité!
Gilles Leblanc 4 février 2019
Un bon texte sur une vaillante agente de communications. 40 ans, c’est tout un exploit. Bravo et merci Jasmine !