«Il est tout à fait douloureux d’admettre que notre Église a pu laisser se répandre, en secret et souvent en toute impunité, le grave problème des atteintes sexuelles commises par des membres du clergé. Encore plus douloureux de concevoir que ce tort a été fait à des enfants, dans de très nombreux cas», écrit Jacinthe Lafrance, dans le numéro de février d’En communion.
«Le sommet sur la protection des mineurs qui est en cours au Vatican vient confirmer hors de tout doute que ce mal n’est pas confiné dans quelques diocèses, ni même dans certaines Églises nationales ou des ordres religieux opérant en vase clos. C’est une réalité universelle qui a meurtri tout le corps», poursuit-elle.