«Depuis plus de quinze ans, les frères capucins m’ont donné la chance inouïe d’écrire dans la revue Le Messager de Saint-Antoine», écrit Lise Bruneau-Rancourt dans le numéro de mars du cette publication. La rédactrice explique toutefois qu’elle doit mettre un terme à ses collaborations. «Je viens d’avoir 75 ans, et mon environnement me demande de plus en plus d’énergie. Tristement, je dois faire le deuil de ce temps que je passais avec vous par l’écriture et la pensée. J’ai reçu des centaines et des centaines de lettres. Vous êtes devenus mes amis de plume! Merci à tous!»

Plus tôt dans ce même numéro, on explique que «Le Messager de Saint-Antoine est publié sans interruption depuis 1895. Cet exploit est rendu possible grâce à la collaboration de bénévoles qui croient à la pertinence d’une telle revue dans la société actuelle. Parmi eux, nous retrouvons les chroniqueurs qui s’engagent à publier un texte de 500 mots par mois, 10 fois par année. Cela représente tout un défi».