«Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir, dit le proverbe. L’inverse est peut-être tout aussi vrai: Tant qu’il y a de l’espoir, il y a de la vie. C’est du moins ce qui ressortait des discussions de l’équipe de travail qui a choisi le thème de l’Avent cette année: Grandir dans l’espérance», écrit Jean Grou, rédacteur en chef, dans le numéro 440 de Vie liturgique.
«Dans le monde en général, et au sein de l’Église particulièrement, on dirait que les raisons de désespérer se succèdent ces derniers temps. La tentation est forte de se replier sur soi, de se mettre à l’abri en attendant que ça passe… ou que ça casse! Réaction sans doute légitime et compréhensible, mais est-elle souhaitable?», demande-t-il.