«Le travail académique peut être comparé au travail de la terre qui s’adapte aux exigences des saisons. Le travail de l’ensemencement au printemps n’est pas celui de la récolte à l’automne. Pourtant il y a une véritable continuité entre les divers types d’intervention du jardinier. Quant aux retombées de son travail, elles ne peuvent être généreuses et abondantes que s’il a été constant et persévérant au long des saisons. Ainsi en est-il dans une vie d’étude.»
Des mots d’Alexandrina Diac, directrice générale de la Fondation du Collège universitaire dominicain, dans le plus récent numéro de L’Essentiel. Cette revue n’est pas membre de l’AMéCO.