«Diverses difficultés ont amené les chanceliers du Québec à envisager de modifier les registres actuels», indique le chancelier Guy Boulanger dans le bulletin Ensemble (archidiocèse de Sherbrooke).
Parmi ces difficultés, il mentionne la «fusion de paroisses amenant un transport des registres et des risques de perte ou de manque à la confidentialité», la «difficulté pour des personnes d’indiquer le nom de leur paroisse en raison des regroupements et des appartenances moins fortes», la «diversité des types d’unions», la «reconnaissance de nouvelles filiations par l’État civil».
Il ajoute que dorénavant, «les registres seront signés uniquement par le curé (ou le responsable de la paroisse) au bureau de la paroisse après la cérémonie». De plus, «il sera possible d’inscrire [les noms de] deux parents de même sexe, en spécifiant que c’est une filiation civile uniquement».
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Jean-Léon Laffitte 9 janvier 2020
L’Église n’a pas le droit de cautionner ce crime envers l’enfant, d’un point de vue rationnel et naturel. Deux « parents » de même sexe, c’est faire exprès pour que l’enfant soit orphelin de mère, ou de père. On n’a pas le droit d’utiliser cette terminologie qui vient adopter un mode de vie contraire à la loi naturelle. L’Église pourra être poursuivie ultérieurement si elle collabore à cette mascarade qui brime les droits de l’enfant. Admettre que l’enfant a deux parents de même sexe, même pour une filiation civile uniquement, c’est accepter ce crime contre l’enfant.