«Au beau milieu du mois de mars, on n’attendait qu’une chose, l’arrivée du printemps. Le printemps avec ses fleurs et ses papillons. Le printemps, précurseur de l’été», écrit Marie-Nadia Noël, dans le plus récent numéro de la revue Le Précurseur.
«Pourtant, long fut ce printemps, à cause du confinement exigé par la COVID-19, d’une longueur entrebâillée de doux souvenirs. Des souvenirs qui invitent à la joie, à l’espérance, à la reconnaissance. Pouvons-nous espérer pendant que toutes les frontières se ferment et que les personnes, les peuples même s’isolent? Oui, car les expériences de vie nous donnent espoir que la vie reprendra son cours.»