«Cet été, les pèlerins et les visiteurs ont eu encore une fois la joie de contempler la beauté des plantes et des fleurs de nos parterres. J’en profite ici pour remercier nos deux horticultrices, Mireille et Sonia; elles travaillent fort pour enjoliver le site de notre sanctuaire. Aussi, il y a en forêt ces belles et discrètes fleurs sauvages que les pèlerins ont l’occasion de découvrir quand ils vont se promener dans nos sentiers», écrit le capucin Michel Gagné dans Le Messager de Saint-Antoine.

Ces herbes et fleurs ne sont que de passage, rappelle-t-il tout en notant que «la pandémie que nous traversons nous a fait prendre conscience que l’être humain n’est pas au-dessus de la nature».