«Ce qui donne du prix à la vie, ce n’est pas ce que l’on accumule», écrit Renée Pelletier dans le plus récent numéro de L’Oratoire.
«Au fil du temps, nous ramassons insidieusement mille et une choses qui nous semblent nécessaires ou auxquelles nous tenons, soit par affection ou même sans raison», reconnaît-elle. Conséquence: «tout cela s’accumule, diminue notre espace extérieur et crée une lourdeur intérieure».
L’auteure recommande de débuter «notre grand ménage maintenant dans le but d’alléger notre milieu de vie, de nous sentir mieux intérieurement et de respirer avec plus de légèreté la vie qui nous anime et qui nous entoure.».