Prêtre, Daniel Federspiel est aussi un clown. Dans Carrefour salésien, il explique comment il lie ses deux professions. «On fait de ce qui est faible, délicat, pauvre, une poésie, quelque chose de beau. Là où d’autres se sentent en difficultés, en échec… le clown voit une espérance: il prend le petit détail qui passe inaperçu et qui peut être traduit en espérance. Le clown, c’est d’abord un homme ou une femme qui a vécu quelque chose de dramatique et qui le transforme en joie.»