Dans Carrefour salésien, on raconte cette rencontre entre Victor Hugo et Don Bosco.
«Dans la nuit du 22 mai 1883 l’écrivain, alors octogénaire, se tourna vers un prêtre italien qui se trouvait à Paris, avec des termes plutôt arrogants. Cependant, après une longue conversation intime, il le saluait en lui remettent un billet portant son nom qu’il ne lui avait pas révélé. Le prêtre qui a reçu ce billet était Don Bosco, à qui – soit dit en passant – l’écrivain plus tard dédiera l’un de ses meilleurs éloges, comme d’un homme de légende, écrit-on.