«Un souffle puissant qui vient du dedans et d’autre fois un vent irrésistible qui nous submerge. Il aura fallu l’expérience de la pandémie pendant au moins une année pour redécouvrir cette dimension de la tendresse dans nos vies, dans nos relations, dans notre quotidien, comme un besoin essentiel à notre sentiment d’être vivant», écrit Gaston Sauvé dans Chemins franciscains, la revue Web sur la spiritualité franciscaine.