«Pendant les quinze années où j’ai travaillé en paroisse, j’ai souvent reproché aux agents diocésains de créer de beaux documents, de penser à de beaux projets, de proposer des manières de faire très belles mais qui ne répondent pas aux besoins des paroisses», confie Johanne Brouillette, nouvelle agente de pastorale diocésaine dans le plus récent numéro d’Église de Trois-Rivières.

«On m’a alors demandé de participer à l’élaboration de projets diocésains pour faire entendre la voix des paroisses. Et souvent, j’ai accepté. Je trouvais cependant que, quand venait le temps de mettre en oeuvre dans nos milieux les projets proposés, nous manquions d’accompagnement. Vous conviendrez avec moi que ce n’est pas évident d’accompagner adéquatement près de 70 paroisses!»