Dans la revue En chantier de juin, René Albert présente l’essai de Simonne Plourde, L’âge de l’espérance (Médiaspaul), sur le vieillissement. «C’est à une énorme occultation de la mort à laquelle nous assistons présentement, rappelle l’auteure. À demi-mot, nous prenons excuse pour éloigner la mort, la taire, l’effacer. Pourtant, arrivera le jour où il nous faudra bien la regarder en face; elle cessera d’être une idée abstraite. Mais, au fait, qu’est-ce qui nous fait peur dans l’obligation d’avoir à mourir?La souffrance physique, notre conscience de disparaître, la séparation des nôtres? Tout cela et bien plus: la mort est une question sans réponse.