«Si le féminisme est encore essentiel, c’est parce que trop de sociétés n’ont pas encore profondément intégré ses principes», écrit Jacinthe Lafrance dans le plus récent numéro d’En communion (diocèse de Nicolet). «De par le monde, on trouve des collectivités plus ou moins égalitaires. Et bien entendu, là où la condition des femmes est entièrement subordonnée à un système dirigé par des hommes, c’est pire que chez nous. Mais des événements comme la Marche mondiale des femmes nous rappellent que, malheureusement, tout n’est pas acquis, ici non plus. Ne serait-ce qu’en matière de sécurité (pensons aux femmes autochtones) et de pauvreté, nous avons du chemin à faire pour combler les inégalités.»