«Y a-t-il une relation entre l’enfant syrien, Aylan Kurdi, échoué sur une plage de Turquie, au matin du 2 septembre dernier, et l’enfant juif de Palestine, Jésus, emmailloté et couché dans une mangeoire, il y a plus de 2000 ans à Bethléem?», demande l’abbé Gérard Marier, dans le numéro de novembre d’En communion (diocèse de Nicolet).
«La mort de l’un et la naissance de l’autre, dans des conditions extrêmes, ont suscité beaucoup d’émotions dans le monde entier, le premier ayant été rejeté par la mer et le deuxième par l’hôtellerie et les habitants de Bethléem. L’un et l’autre sont sans patrie, leurs parents sont en chemin. Ce sont des familles migrantes», écrit-il.