«La vie d’un travailleur agricole étranger dans notre région n’est pas facile. Ils viennent ici pour travailler, c’est certain et ils veulent faire le plus d’heures possibles pour faire parvenir à leur famille le plus d’argent possible. Ils font face à de nombreux défis, qui parfois les rendent faibles et les découragent, au point de vouloir quitter avant la fin de leurs contrats», écrit Jenny Diaz, coordonnatrice du projet Raices y Esperanzas, dans le plus récent numéro d’En Église, publication du diocèse de Chicoutimi.