«Nous sommes devenus des gens stressés, toujours à la course. Je me surprends souvent à dire que je manque de temps, que les mois filent sans que je les vois passer. Je sais que je ne suis pas le seul à vivre cela. À l’approche de Noël, cela m’apparaît encore plus évident : notre agitation augmente en fonction du nombre de jour qui nous sépare de Noël», écrit Michel Nolin, coordonnateur de la pastorale à l’archidiocèse de Gatineau. C’est dans le dernier numéro d’En Marche.