Dans son mot d’ouverture publié dans la revue Le Khaoua, Jean-Marc St-Jacques déplore «le manque d’intérêt de tant des nôtres devant la détresse humaine, l’injustice, l’appauvrissement».
«Il y a de quoi désespérer», ajoute-t-il.
Puis il annonce que le nouveau numéro montre qu’«il est possible de vivre autrement en plaçant la personne humaine au centre de l’avenir du monde, une personne qui accepte de vivre en harmonie avec les autres et avec la nature».